La rando |
Longueur : A : 4 km – B : 7,5 km
Descendre le coteau derrière l’école. A mi-pente on peut admirer la belle ferme d’En Papaillau aux harmonieuses proportions.
Traverser la D57 et, à quelques mètres, prendre le chemin de terre à gauche. Arrivé à un champ, grimper le talus à gauche pour prendre le chemin boisé dit « chemin de Laspeyres ».
En bas de ce chemin, franchir le ruisseau sur une petite passerelle de bois près de laquelle se trouve un ancien puits.
Traverser le champ de culture où le chemin est visiblement tracé pour retrouver un chemin sous bois où, à droite, on voit un ancien abreuvoir de briques et en face un banc.
Continuer tout droit ; traverser un champ où le chemin est bien tracé. Arriver au ruisseau d’En Meaux.
A : traverser le ruisseau et revenir au village.
B : ne pas traverser le ruisseau mais grimper le talus à droite (flèches jaunes). Suivre le ruisseau le long d’un champ. Au bout de celui-ci entrer dans un bosquet qui longe un autre ruisseau. Arriver à un champ, en suivre le bord quelques mètres avant d’arriver à un sentier qui conduit par un petit talus jusqu’à un ancien lac (sec depuis la sécheresse de 2003). On pourra éventuellement aller auparavant jusqu’à la fontaine (joli point de vue). Longer ce lac puis traverser un nouveau bosquet. A sa sortie passer devant une maison (la Tuilerie) dont le chemin empierré conduit à une petite route.
Tourner à droite en face d’une autre maison (la Deveze). La route descend puis remonte.
Tourner à droite, puis à gauche quelques mètres plus loin, après deux villas.
Arrivé en face d’un pigeonnier (le Négrier), tourner à gauche puis à droite quelques mètres plus loin au coin du parc.
Tout en bas du chemin, tourner à droite en remontant jusqu’au champ que l’on a déjà traversé à l’aller.
Au bois d’En Meaux, après avoir traversé le ruisseau, monter en pente douce jusqu’à la lisière du parc de Pastoureau.
On arrive à la D57 qui, à droite, reconduit au village. |
Informations |
56 m de dénivelé. Quelques montées et descentes pas très longues. La zone de l’ancien lac (Circuit B) peut être très boueux.
* Au 10e s., ces espaces faisaient partie d’un vaste domaine s’étendant de BEAUPUY à FLOURENS, donné par une famille à ST SERNIN du TAUR, à TOULOUSE ; u
*En 1226 le Comte Raymond VII en fait une « sauveté » avec des privilèges,
* Riquet de BONREPOS est seigneur de LA VALETTE (seconde moitié du 17e s.).
* Y a-t-il un lien avec la capitale de Malte ? Pas si sûr… Antoinette de Nogaret épouse le lotois Guilhot de Valette vers 1550. Son beau frère Jean de la Valette est le 48e grand maître de l’ordre de Malte qui, victorieux des Turcs à Malte, fait construire à partir de 1568 une nouvelle ville qu’il nomme Cité Valette.
A voir :
Dans l’église Saint Laurent :
- Vitraux de Louis Victor GESTA (19e)
- Vierge de Montlein, bois (14e) dans la chapelle sud. A l’origine polychrome, elle a la particularité de représenter Jésus avec une tête d’homme mûr pour signifier le lien entre l’ancien et le nouveau testament (souvent utilisé au Moyen Age) .
- Chapiteaux en briques et pierres du 15e dans la chapelle nord dite des Nogaret. |